Artist painter, portraitist.
Born, lives and works in Paris, France.
by Osman Atabek, physicist, Research Director at CNRS
As the celebrated French portraitist Mac'Avoy eloquently pointed out at the occasion of her first solo exhibition at 1969, Françoise Garret’s painting is but a subtle bridge between classicism and modernism, borrowing from the former her rigor in the drawing and the construction, and, from the later, her dramatically rich firework of colours.
Her creativity is inspired from a wide variety of themes, ranging from portraits of live models, to the ones of large cities or big industrial firms; from sport activities and humans or animals in motion, to the capture of the very concept of kinematics and dynamics itself; to end up into signs of life, signs of light, like algebraic symbols concentrating and summarizing in their aesthetic mystery, her deep intellectual and artistic quest. To further express this creativity, she refers altogether to traditional techniques (oil, water-colour, acrylic, charcoal on canvas or wood) but also to modern ones (multimedia systems, light boxes).
Numerous prestigious prizes and awards Othon Friesz Prize, Grand Prix de Peinture de la Seine, Coopération Prize, Tech-Image Prize, to cite a few) highlight the world wide recognition of her achievements. Yet another witness of this recognition is her recent nomination, by the American Biographical Institute, as one of the most outstanding women for the year 2006.
Quoting once more Mac Avoy, this very strong painting work nicely contrasts with the physical appearance of the artist: a slim, blonde lady…
Major artistic achievements | ||
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Special projects | ||
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Prizes and distinctions | ||
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Selected solo exhibitions | ||
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Selected group exhibitions | ||
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Several exhibitions abroad | ||
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Préface du Maître Mac'Avoy
- première exposition personnelle de Françoise Garret à la Galerie André Weil, Paris (1969) MAC AVOY, Président du Salon d'Automne et portraitiste des Grands Contemporains (Picasso, Jean XXIII, Montherlant, Gide) « Un jour il y aura la réconciliation. On s'apercevra que les frères n'étaient pas ennemis, que les antagonismes étaient de faux antagonismes, et notre époque déchirée apparaîtra à la postérité, une et harmonieuse. Nos querelles esthétiques d'aujourd'hui paraîtront aussi vaines que nous parait vaine la vide et fameuse querelle des Anciens et des Modernes. Garret est dans la bonne voie: ses recherches tendent à trouver un langage que comprennent ceux qui s'estiment des étrangers; à établir un vocabulaire plastique commun aux deux camps. Je suis convaincu que là est la tâche des jeunes peintres. D'abord déconcertés par les apparences, ne sachant qui croire, ils se ressaisissent. Garret prend sa place parmi ceux qui ont gardé la tête sur les épaules, qui ne se sont pas laissés berner, qui admirent où il faut admirer, qui ont une culture, qui ont aimé Braque, fort bien compris Manessier, Bazaine, Vasarely, aussi bien que Picasso, Chagall, ou Gromaire, qui maintenant pensent la peinture, l'assument, et ont pour mission de la refaire une fois de plus. Peintre d'abord, peintre né, Garret organise ses dons, et ses larges surfaces de couleurs qui ont l'éclat du vitrail, sont serties de volonté, comme les morceaux de verre sont sertis par le plomb. Le prétexte: son sujet; et la réalité: la nature, sont entraînés, formes et rythmes, paraissent et disparaissent, au gré du peintre, se soumettent à la réalité peinture, à l'ordre imposé. Le dessin, impérieux, sans fioritures, sans grâces idiotes, lui aussi obéit à la dictée intérieure. C'est le meilleur dessin qui soit. Oui, Garret possède la solide constitution mentale, les dons robustes, la sensibilité dominée, la force que rien ne déroute, le souffle, l'endurance, qui seront nécessaires aux peintres de demain. Je mise sur son grand avenir. Au physique? Je vous le donne en mille, et soudain, me décide à trahir: Garret est une mince, une frêle, une blonde, blonde jeune-fille. » |